LE MARCHÉ DU NUMÉRIQUE : UNE PLACE POSSIBLE POUR LES INDEPENDANTS ?
- Le 20 avril 2022
2021 est l’année de la reprise pour le secteur numérique (logiciels et service) en France, avec une croissance de 6,3%. (7,2% en 2022)
Avec la pandémie, les entreprises ont pris conscience de l’importance du numérique et travaillent actuellement sur trois grands sujets principaux : la transformation vers le cloud (+27%), tout ce qui touche aux données (dans le but d’optimiser la connaissance/l’expérience client pour proposer de nouveaux services / offres mais aussi pour pouvoir améliorer les processus internes afin de gagner en efficacité et productivité) et enfin la cyber sécurité qui est aujourd’hui « infusée » dans la majeure partie des projets numériques (+8,2%).
Les besoins des entreprises utilisatrices repartent à la hausse, même si elles subissent des contraintes budgétaires. Alors que les grandes entreprises mettent en place un processus de massification de leurs fournisseurs, les ETI ou PME, qui ont moins de fournisseurs, essaient de réaliser de plus gros projets afin d’avoir plus de levier de négociation budgétaire. Cela implique pour les fournisseurs d’être en mesure de se positionner sur des périmètres plus larges et donc de disposer aussi d’une palette de compétences plus importante pour pouvoir se positionner sur ces contrats.
Parallèlement, le marché de l’emploi est très tendu sur certains types de ressources et encore très masculin. La crise du Covid a entraîné une évolution des modes de travail et les entreprises du numérique travaillent à faire évoluer leurs pratiques de recrutement, d’évolution de carrière et de souplesse dans la gestion de projets.
L’indépendance dans ce secteur a le vent en poupe : désir de flexibilité, d’autonomie, refus du modèle de l’ESN … « Si l’indépendance est la mode, la situation n’est cependant pas idyllique ». Au-delà d’une expertise métier avérée, l’indépendant doit être capable de faire face à l’incertitude de ses revenus, de trouver des missions, de gérer sa relation client, de maîtriser les aspects administratifs et comptables, de suivre les évolutions technologiques… Seul et souvent moins crédible, il n’a que des missions très ponctuelles et fragmentées.
Tester son projet en couveuse d’entreprises permet :
- De se décharger des aspects administratifs et comptables pour se concentrer sur son cœur de métier
- D’être accompagné et formé pour développer ses compétences et sa posture de chef d’entreprise
- D’intégrer un réseau d’entrepreneurs
- D’avoir une structure juridique crédible vis-à-vis de ses clients
Devenez un entrepreneur du digital libéré en couveuse d’entreprises !
Pour répondre encore mieux aux besoins des entrepreneurs de cette filière, la couveuse AUXIME ENVOLYS a identifié un réseau de structures et collectifs spécialisés dans le digital : L Digital, Happy Dev, les Canumériques… et noué des partenariat avec des cabinets pour proposer des offres de mission.
Sources : 404works.com ; numeum.fr
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